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Vient alors l'illustration (ou ce qui la remplace, en attendant), la comestibilité : Fruit pour le fruit (et/ou les graines, la pulpe, etc...), Fleur pour les fleurs (et/ou pétales, calice...), Feuille pour les feuilles (et/ou la tige, les pousses...), Racine pour les racines, et enfin Tronc pour le tronc (et/ou l'écorce, la sève...), ensuite les notes alimentaires et médicinales (de 1 à 5 étoiles), la rusticité (résistance au froid/gel) et pour finir la description suivie donc d'un + pour continuer vers la fiche complète.

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Asteraceae > Gundelia > Gundelia tournefortii - idu : 15409
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Illustration Gundelia tournefortii, Par Miller, P., Figures of the most beautiful, useful and uncommon plants, described in the gardeners? dictionary (1755-1760) Fig. Pl. Gard. Dict. vol. 2 t. 287, via plantillustrations
      Illustration Gundelia tournefortii, Par Miller, P., Figures of the most beautiful, useful and uncommon plants, described in the gardeners? dictionary (1755-1760) Fig. Pl. Gard. Dict. vol. 2 t. 287, via plantillustrations  - Fermer      

Par Miller, P., Figures of the most beautiful, useful and uncommon plants, described in the gardeners? dictionary (1755-1760) Fig. Pl. Gard. Dict. vol. 2 t. 287, via plantillustrations












  • Détails

    :

      

      Plante laiteuse comme le Scolyme. Tige assez forte, rameuse, atteignant 0m,30 à 0m,40 de hauteur. Feuilles radicales longues, profondément incisées, à lobes bordés de dents épineuses. La nervure principale est grosse, blanche et couverte de duvet; feuilles caulinaires sessiles, semi-amplexicaules. En juin-août, fleurs purpurines, en capitules ovales, ressemblant à ceux de certains
      Panicauts (Eryngium). Involucre unisérié, monophylle, plus court que les fleurs, à écailles terminées par une pointe épineuse. Corolle régulière, glabre, à cinq lobes plus longs que le tube. Étamines 5, non saillantes. Stigmate bifide. Les quatre fleurons de la circonférence sont mâles ou stériles ; celui du centre est hermaphrodite. Fruit (achaine) assez gros, ovale, dépourvu d'aigrette.
      Plante vivace, originaire de l'Asie Mineure, où elle croît dans les lieux incultes. Tournefort l'observa dans son voyage au Levant et la nomma Gundelia, du nom de Gundelsheimer, son ami, qui l'accompagna dans ce voyage. On la cultiva longtemps, au Jardin des plantes de Paris, de graines provenant de ce voyage; on la perdit ensuite, mais on ne larda pas à se la procurer de nouveau. On -y possède aujourd'hui de forts pieds de Gundelia, mais ils produisent très peu de graines fertiles ; d'autre part, comme chez beaucoup de plantes à racines pivotantes ou lactescentes, la division des
      touffes n'est guère praticable. Le Gundelia est donc d'une multiplication difficile.

      Accoub de Syrie


      Sa culture présente aussi quelque difficulté. Originaire d'un pays où la saison humide et végétative est de courte durée et suivie d'une période de sécheresse absolue, il arrive que, cultivée chez nous, la plante a achevé sa végétation vers le milieu de l'été ; à partir de ce moment commence pour elle la période de repos, qui correspondrait justement, dans son pays d'origine, à la saison sèche. Nos automnes étant ordinairement pluvieux, il faut donc garantir la plante contre l'humidité en la couvrant d'une cloche ou d'un châssis, sous peine de la voir bientôt atteinte par la pourriture. Une lettre adressée par M. Blanche, consul de France à Tripoli de Syrie, nous a été obligeamment communiquée. Elle fait connaître un usage de la plante que nous ne soupçonnions pas :
      « En fait de plantes qui vivent dans tous les milieux, je vous en envoie une sur laquelle j'appelle toute votre sollicitude : c'est le Gundelia Tournefortii L., à grosses racines et à feuilles épineuses. Les Arabes l'appellent Accoub, d'où Vaillant avait bien sûr formé le genre Hacub.
      « Il y a de nombreuses années que j'ai le désir de l'acclimater chez nous; j'ai dû vous en envoyer autrefois; j'en ai envoyé à Decaisne et à Palerme, etc., etc.. et je n'ai pas réussi ; je recommence mes essais de naturalisation cette année. C'est surtout comme plante potagère qu'elle mérite l'attention. Les jeunes pousses dépouillées de leurs épines, et surtout les capitules à l'état de boutons naissants, constituent un légume extrêmement estimé des Arabes, et qui, à mon avis, vaut l'Artichaut. »
      En Syrie, selon Boissier (Flora orientalis), on mange les jeunes tiges de cette plante après les avoir fait cuire. On la connaît sous le nom de Accoub.
      Olivier, dans son Voyage en Orient, remarque que les racines de cette plante sont plus savoureuses, bien moins fades que celles du Salsifis et de la Scorsonère.
      « Il n'est pas douteux, dit-il, que cette plante ne réussisse très bien dans toute la France méridionale, et ne puisse y devenir une de nos meilleures plantes potagères. »
      (Lamarck, Encyclopédie, suppl.).
      On voit, par ce qui précède, que les racines, les tiges, les capitules de l'Accoub sont également comestibles, en un mot que la plante entière constitue un excellent légume. Il n'avait pas été dit, avant que la lettre de M. Blanche nous l'apprît, que les capitules à l'état de boutons naissants fussent particulièrement recherchés ; or, ce sont précisément ces capitules que nous avons pu
      déguster. Nous n'avons pas jusqu'ici possédé un nombre de pieds qui nous permît de sacrifier quelques sujets pour en manger les racines ou les côles; mais, expérience faite, l'un de nous pouvait, en juin 1886, écrire à des amis : « Légume excellent! Plante féroce! Mon jardinier s'en est approché avec précaution, le sécateur à la main. Il a détaché une trentaine de boutons à fleur, ronds et du volume d'une grosse Fraise ananas.
      « J'ai coupé les épines dont ils sont garnis et je les ai jetés au fur et à mesure dans l'eau fraîche.
      « Au contact du fer, la section devient noire comme celle de l'Artichaut.
      « Les boutons ont été cuits à l'eau et accommodés au beurre comme les flageolets, sans persil.
      « Le résultat a été extrêmement satisfaisant, et ce n'est pas seulement l'avis de l'amateur qui vous écrit, mais aussi celui de toute sa famille.
      « Le goût du légume est également voisin de celui de l'Asperge et de celui de l'Artichaut.
      « L'Accoub serait appelé par les gourmets aux plus hautes destinées, s'il n'était pas le plus redoutable des Chardons, si les cuisinières pouvaient l'accepter. »
      Un de nos correspondants, le docteur G., nous écrivait de Dijon, en octobre 1890 : « J'ai fait, cette année, une récolte d'Accoub qui a été trouvée excellente par tous.
      Nous cherchons à multiplier la plante, mais c'est une opération fort longue. Les graines lèvent difficilement, quelques-unes au bout d'un mois, d'autres au bout de trois mois. La moitié avorte. La plante exige ensuite quatre ans au moins pour atteindre son maximum de production.
      Nous appelons néanmoins toute l'attention des amateurs sur le Gundelia; s'il ne peut pas être mis dans le commerce, il mérite une place d'honneur dans leurs jardins et sur leurs tables.
      Les difficultés que peut présenter sa culture dans les environs de Paris n'existeraient pas dans le Var, dans les Alpes-Maritimes, etc., où la distribution de l'humidité et de la sécheresse est à peu près la même qu'en Syrie. Il est très désirable que des essais sérieux soient faits et qu'un résultat heureux soit le prix du zèle persévérant de notre consulµ{{{76(+x)µ.





  • Dénominations

    :

      

    • Nom botanique :

      Gundelia tournefortii L. (1753)

    • Synonymes français

      :

      gundélie, gundelia de Tournefort, gundélie de Tournefort, accoub, gundelia

    • Noms anglais et locaux

      :

      Tournefort's gundelia, gundelia ;





  • Description et culture

    :

      

    • Description détaillée

      :

      Plante laiteuse comme le Scolyme. Tige assez forte, rameuse, atteignant 0m,30 à 0m,40 de hauteur. Feuilles radicales longues, profondément incisées, à lobes bordés de dents épineuses. La nervure principale est grosse, blanche et couverte de duvet; feuilles caulinaires sessiles, semi-amplexicaules. En juin-août, fleurs purpurines, en capitules ovales, ressemblant à ceux de certains
      Panicauts (Eryngium). Involucre unisérié, monophylle, plus court que les fleurs, à écailles terminées par une pointe épineuse. Corolle régulière, glabre, à cinq lobes plus longs que le tube. Étamines 5, non saillantes. Stigmate bifide. Les quatre fleurons de la circonférence sont mâles ou stériles ; celui du centre est hermaphrodite. Fruit (achaine) assez gros, ovale, dépourvu d'aigrette.
      Plante vivace, originaire de l'Asie Mineure, où elle croît dans les lieux incultes. Tournefort l'observa dans son voyage au Levant et la nomma Gundelia, du nom de Gundelsheimer, son ami, qui l'accompagna dans ce voyage. On la cultiva longtemps, au Jardin des plantes de Paris, de graines provenant de ce voyage; on la perdit ensuite, mais on ne larda pas à se la procurer de nouveau. On -y possède aujourd'hui de forts pieds de Gundelia, mais ils produisent très peu de graines fertiles ; d'autre part, comme chez beaucoup de plantes à racines pivotantes ou lactescentes, la division des
      touffes n'est guère praticable. Le Gundelia est donc d'une multiplication difficile.

      Accoub de Syrie


      Sa culture présente aussi quelque difficulté. Originaire d'un pays où la saison humide et végétative est de courte durée et suivie d'une période de sécheresse absolue, il arrive que, cultivée chez nous, la plante a achevé sa végétation vers le milieu de l'été ; à partir de ce moment commence pour elle la période de repos, qui correspondrait justement, dans son pays d'origine, à la saison sèche. Nos automnes étant ordinairement pluvieux, il faut donc garantir la plante contre l'humidité en la couvrant d'une cloche ou d'un châssis, sous peine de la voir bientôt atteinte par la pourriture. Une lettre adressée par M. Blanche, consul de France à Tripoli de Syrie, nous a été obligeamment communiquée. Elle fait connaître un usage de la plante que nous ne soupçonnions pas :
      « En fait de plantes qui vivent dans tous les milieux, je vous en envoie une sur laquelle j'appelle toute votre sollicitude : c'est le Gundelia Tournefortii L., à grosses racines et à feuilles épineuses. Les Arabes l'appellent Accoub, d'où Vaillant avait bien sûr formé le genre Hacub.
      « Il y a de nombreuses années que j'ai le désir de l'acclimater chez nous; j'ai dû vous en envoyer autrefois; j'en ai envoyé à Decaisne et à Palerme, etc., etc.. et je n'ai pas réussi ; je recommence mes essais de naturalisation cette année. C'est surtout comme plante potagère qu'elle mérite l'attention. Les jeunes pousses dépouillées de leurs épines, et surtout les capitules à l'état de boutons naissants, constituent un légume extrêmement estimé des Arabes, et qui, à mon avis, vaut l'Artichaut. »
      En Syrie, selon Boissier (Flora orientalis), on mange les jeunes tiges de cette plante après les avoir fait cuire. On la connaît sous le nom de Accoub.
      Olivier, dans son Voyage en Orient, remarque que les racines de cette plante sont plus savoureuses, bien moins fades que celles du Salsifis et de la Scorsonère.
      « Il n'est pas douteux, dit-il, que cette plante ne réussisse très bien dans toute la France méridionale, et ne puisse y devenir une de nos meilleures plantes potagères. »
      (Lamarck, Encyclopédie, suppl.).
      On voit, par ce qui précède, que les racines, les tiges, les capitules de l'Accoub sont également comestibles, en un mot que la plante entière constitue un excellent légume. Il n'avait pas été dit, avant que la lettre de M. Blanche nous l'apprît, que les capitules à l'état de boutons naissants fussent particulièrement recherchés ; or, ce sont précisément ces capitules que nous avons pu
      déguster. Nous n'avons pas jusqu'ici possédé un nombre de pieds qui nous permît de sacrifier quelques sujets pour en manger les racines ou les côles; mais, expérience faite, l'un de nous pouvait, en juin 1886, écrire à des amis : « Légume excellent! Plante féroce! Mon jardinier s'en est approché avec précaution, le sécateur à la main. Il a détaché une trentaine de boutons à fleur, ronds et du volume d'une grosse Fraise ananas.
      « J'ai coupé les épines dont ils sont garnis et je les ai jetés au fur et à mesure dans l'eau fraîche.
      « Au contact du fer, la section devient noire comme celle de l'Artichaut.
      « Les boutons ont été cuits à l'eau et accommodés au beurre comme les flageolets, sans persil.
      « Le résultat a été extrêmement satisfaisant, et ce n'est pas seulement l'avis de l'amateur qui vous écrit, mais aussi celui de toute sa famille.
      « Le goût du légume est également voisin de celui de l'Asperge et de celui de l'Artichaut.
      « L'Accoub serait appelé par les gourmets aux plus hautes destinées, s'il n'était pas le plus redoutable des Chardons, si les cuisinières pouvaient l'accepter. »
      Un de nos correspondants, le docteur G., nous écrivait de Dijon, en octobre 1890 : « J'ai fait, cette année, une récolte d'Accoub qui a été trouvée excellente par tous.
      Nous cherchons à multiplier la plante, mais c'est une opération fort longue. Les graines lèvent difficilement, quelques-unes au bout d'un mois, d'autres au bout de trois mois. La moitié avorte. La plante exige ensuite quatre ans au moins pour atteindre son maximum de production.
      Nous appelons néanmoins toute l'attention des amateurs sur le Gundelia; s'il ne peut pas être mis dans le commerce, il mérite une place d'honneur dans leurs jardins et sur leurs tables.
      Les difficultés que peut présenter sa culture dans les environs de Paris n'existeraient pas dans le Var, dans les Alpes-Maritimes, etc., où la distribution de l'humidité et de la sécheresse est à peu près la même qu'en Syrie. Il est très désirable que des essais sérieux soient faits et qu'un résultat heureux soit le prix du zèle persévérant de notre consulµ{{{76(+x)µ.



    • dont infos de "FOOD PLANTS INTERNATIONAL" :

      • Description

        :

        Un chardon comme une herbe qui ne cesse de croître d'année en année. Il est feuillu et peut avoir quelques poils. Les feuilles sont étroitement ovales et divisées en lobes le long de la tige. Les feuilles inférieures ont une tige et les feuilles supérieures n'ont pas de tige. Le limbe de la feuille descend souvent le long de la tige. Les feuilles ont des veines faciles à voir. La nervure médiane est souvent violette et il y a de petites épines jaunes autour du bord. Les capitules peuvent être blancs, jaunes, roses, violets ou rouges. Ils sont rassemblés en têtes épineuses. Ils mesurent 4 à 5 cm de diamètre{{{0(+x) (traduction automatique).

        Original : A thistle like herb which keeps growing from year to year. It is leafy and can have some hairs. The leaves are narrowly oval and divided into lobes along the stalk. The lower leaves have a stalk and the upper leaves do not have a stalk. The leaf blade often runs down the stem. The leaves have easy to see veins. The midrib is often purple and there are small yellow spines around the edge. The flower heads can be white, yellow, pink, purple or red. They are gathered into spiny heads. They are 4-5 cm across{{{0(+x).

      • Culture

        :

        Les têtes fructifères se cassent et répandent les graines{{{0(+x) (traduction automatique).

        Original : The fruiting heads break of and spread the seeds{{{0(+x).



  • Miam

    Consommation

    (rapports de comestibilité, parties utilisables et usages alimentaires correspondants) :

      

    Feuilles, graines, têtes de fleurs, tigesµ{{{0(+x)µ. La jeune plante et les boutons floraux et les tiges sont consommés comme légume.

    Les racines et les tiges peuvent être pelées et consommées crues.

    Les tiges sont cuites avec des pois chiches.

    Les bourgeons sont bouillis et sautés dans le beurre.

    Les graines sont séchées et broyées et utilisées comme substitut du caféµ{{{0(+x)µ.



    Partie testée

    : feuilles{{{0(+x) (traduction automatique).

    Original : Leaves{{{0(+x)

    Taux d'humidité Énergie (kj) Énergie (kcal) Protéines (g)
    95.3 56 13 1.0

    Pro-
    vitamines A (µg)
    Vitamines C (mg) Fer (mg) Zinc (mg)
    / / 0.8 /



  • Précautions

    Risques et précautions à prendre

    :

      

    néant, inconnus ou indéterminés.


  • Autres infos

    :

      

    Les Arabes l'appellent Accoub, d'où Vaillant avait bien sûr formé le genre Hacubµ{{{76(+x)µ.


    dont infos de "FOOD PLANTS INTERNATIONAL" :

    • Statut

      :

      Les boutons floraux sont vendus sur les marchés. C'est une source de nourriture importante en Anatolie en Turquie{{{0(+x) (traduction automatique).

      Original : The flower buds are sold in markets. It is an important food source in Anatolia in Turkey{{{0(+x).

    • Distribution

      :

      C'est une plante méditerranéenne. Il pousse le long de la côte. Il peut pousser dans des sols secs et salés. Il peut pousser dans des endroits arides{{{0(+x) (traduction automatique).

      Original : It is a Mediterranean plant. It grows along the coast. It can grow in dry and salty soils. It can grow in arid places{{{0(+x).

    • Localisation

      :

      Africa, Armenia, Azerbaijan, Cyprus, Egypt, Europe, Georgia, Iran, Iraq, Israel, Jordan, Kazakhstan, Lebanon, Mediterranean, North Africa, Palestine, Syria, Turkey{{{0(+x) (traduction automatique).

      Original : Africa, Armenia, Azerbaijan, Cyprus, Egypt, Europe, Georgia, Iran, Iraq, Israel, Jordan, Kazakhstan, Lebanon, Mediterranean, North Africa, Palestine, Syria, Turkey{{{0(+x).




  • Liens, sources et/ou références



      

    • Sources et/ou références :

      Wikipedia ;

      dont classification :
      "The Plant List" (en anglais) ;

      dont livres et bases de données : 0"Food Plants International" (en anglais), 76Le Potager d'un curieux - histoire, culture et usages de 250 plantes comestibles peu connues ou inconnues (livre, pages 1 à 5, par A. Paillieux et D. Bois) ;

      Le potager d'un curieux - histoire, culture et usages de 250 plantes comestibles, peu connues ou inconnue (par Auguste Pailleux et Désiré Bois, 3ème édition de 1899) / détails du livre

      dont biographie/références de "FOOD PLANTS INTERNATIONAL" :

      Ali-Shtayeh, M. S., et al, 2008, Traditional knowledge of wild edible plants used in Palestine (Northern West Bank): A comparative study. J Ethnobiol Ethnomed. 4: 13 ; Al-Qura'n, S. A., 2010, Ethnobotanical and Ecological Studies of Wild Edible Plants in Jordan. Libyan Agriculture Research Center Journal International 1(4):231-243 ; Blamey, M and Grey-Wilson, C., 2005, Wild flowers of the Mediterranean. A & C Black London. p 447 ; Davis, S.D., Heywood, V.H., & Hamilton, A.C. (eds), 1994, Centres of plant Diversity. WWF. Vol 2. p 340 ; Della, A., et al, 2006, An ethnobotanical survey of wild edible plants of Paphos and Larnaca countryside of Cyprus. J. Ethnobiol. Ethnomed. 2:34 ; Facciola, S., 1998, Cornucopia 2: a Source Book of Edible Plants. Kampong Publications, p 38 ; Food Composition Tables for the Near East. https://www/fao.org/docrep No. 342 ; Hedrick, U.P., 1919, (Ed.), Sturtevant's edible plants of the world. p 334

    • Recherche de/pour :










Dernière modification le :
jeudi 04 avril 2024, à 19h53


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Note médicinale :
* ** *** **** *****


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Cf. "Notes et mises en garde", pour plus d'informations sur les précautions à prendre.



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